• poésieTerre aussi lointaine...
    Combien d'hommes tu entraines
    vers tes buissons d'épines
    au parfum d'aubépine;
    cache un sourire naîf,
    un moment qui ne s'oublie.

    Ou dans l'insouciance,
    moment d'indifférence,
    deux coeurs d'extanse;
     terre dans le silence
    pendant que saisons dansent,
    où chaque jour passant,

     ou sur toi s"ouvre la vie
    pendant qu'une âme s'enfuit.
    Terre, terre tu donnes
    terre, terre a reprit;
    à cela personne ne puis
    non même pas un homme.

    Terre, terre méchante                        Ah de la charrue de bois
    de tous ces temps serait                     par les beux était tirée,
    Ou l'homme de toi ne sait                     où que l'homme de ses bras
    vraiment le mal qu'il te fait,                dans la terre faisait entrer
    ce que tu donnes il tue,                      le pauvre soc de bois,
    il est tant indifférent.                          regardait le bout la bas.

    Terre, terre bafouée                            Ne lisait pas le journal,
    de toutes ces années                            labourait son journal,
    des hommes tu as tué;                          il regardait les oiseaux
    mais qui l'a vraiment cherché?              ou un lapin qui fuyait
    Toi serte on peu le dire                          tout à travers son journal
     mais, ce serait bien mentir.                  et qui sautait un ruisseau.

    Terre tout ce que tu donnes:                 En ce temps la terre, tu
    Qu'en a vraiment fait l'homme?               était verte, tu était fraiche,
    Oh bien des choses bonnes...                 petites récoltes fut.
    Que personne s'étonne                           Terre fraiche ou sèche,
    des idées un peu folles,                           l'homme marchait et suait,
    oh ces grandes écoles.                             malgré tout était fier.
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  • poésieElle ce n'est pas son prénom,
    elle quand elle prend son crayon,
    elle remarquée des garçon,
    elle au vent les cheveux longs,

    pour le plaisir d'être elle,
    et de se sentit belle.
    Le miroir est tout pour elle,
    sans lui ce ne serai pas elle.

    A faire mille gestes,                   dans la rue quand elle passe,
    tout pour un amour brulant,      tous les yeux pour elle brillent
    en rêvant le coeur battant         sur le trottoir d'en face
    à faire mille gestes,                    tous les yeux brillent.

    elle c'est toute sa vie,                 Elle est jeune et jolie,
    elle et toutes ses envies,            elle s'amuse et vie
    elle une fille à cueillir,                   elle insouciante de la vie
    elle c'est ce qu'elle désire,             elle a le coeur plein de folies.

    devant son miroir, elle                    Aime les décibels
    combien de temps passe t'elle         de paroles si belles
    pour avoir vingt ans elle,                 et s'imagine -t'-elle
    prend soin de son  corps elle.           tout son univers à elle.

    elle a envie de vivre elle,                  Le temps de la jeunesse
     elle a envie de plaire,                       le temps de la tendresse,
    elle laisse son sourire.                        le temps d'un coeur qui s'ouvre
    Elle de son regard éclaire                   le temps d'un amour fou.
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  • poésieNous les enfants, travailler
    c'est toujours s'amuser,
    dans le monde entier.

    On est la gaité
    de toute la société;
    les pépés les mémés

    nous regardent nous amuser,
    c'est notre façon de travailler
    dans le monde entier.

    Nous les enfants en hiver,
     on est le brulant soleil
    à l'endroit à l'envers;

    des idées pleins la tête,
    toujours en éveil
    c'est toujours la fête.

     Petite tête d'enfant,
    petite tête qui pense
    travailler c'est s'amuser.

    Dans le monde entier,
    il serait amusant
    que les enfants:

    Gouvernent les grands;
    plus d'enfant au labeur.
    plus d'enfant en pleurs.

    Mettons les grands :
    aux durs labeurs
    juste à deux sous de l'heure.

    Mais nous les enfants,
    travailler c'est s'amuser
    dans le monde entier. 
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  • poésieQuand il pose son chevalet,
    par la nature inspirée:
    son pinceau il fait aller
    puis tout d'un coup s'arrête.

    Une autre couleur choisie
    jusqu'à un point défini;
    ou deux couleurs se marient
    selon ce qui l'inspire.

    De ces couleurs mélangées,
    que sera t'il composé, 
    seul le peintre, lui le sait
    chaque passant le regardait

    mais sans ne rien comprendre
    tandis que le pinceau danse;
    par la peinture engendrée
    donne une nuance.

    De son oeil bien exercé,
    assombri une couleur
    ou juste il effleure
     pour juste un peu plus foncé.

    Plus de blanc sur la toile, 
    des couleurs de ci de la,
    dans un accord total
    le peintre toujours fera. 
    http://data0.eklablog.com/gerardch/mod_article1243293_1.jpg
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  • poésieDeux petits bois en greffes
    donneront un jour bref;
    les saisons en chemin,
    un bon ju de raisin
    que l'homme si malin
    sucombera en vain.

    Oh toi pied de vigne
    tu fera trébucher.
    Si l'hiver toi vigne
    tu semble désséchée,
    quand chauffe le soleil,
    les bvourgeons se réveillent

    pendant que dans le chai,           Mais deviendra le vin
    dans le fut de chêne,                  endormi mais malin
    dans le noir dort le vin:              pour qui est trop copin.
    où l'homme se penchait:            Te soigner est un art
    Pour sentir le chêne?                  et pourquoi te boire,
    Non pas mais: l'odeur du vin.      ne serait ps un art.

    Certe belles fleurs                      Laprécier au palais,
    seraient elles sur le vin               sur quel plat il serait,
    une bonne faveur?                     de sa belle couleur,
    ou une peau de chagrin?            de sa bonne saveur.
    Le vin est un savoir,                   Qui sera plus malin
    le conserver un art.                     oui, l'homme ou le vin.

    Oh bois qui bourgeonne,            Si le vin ne dit rien,
    travaille tu donnes;                 ce n'est pas qu'il fait rien.
    ou, dans ton feuillage           Si il sort de sa cachette,
    le raisin bien sage                 fait perdre la tête.
    que le soleil dore,                 Il est plus doux de déguster,
    attendant l'automne.              pour mieux l'aprécier.

    pendant que le vin dort          Oh mais toi la vigne,
    blotti dans son chêne             serait tu indigne
    il vieillit encore.                    de tout ce vin qui dort?
    Quelle bonne odeur de chai     car toi aussi tu dors
    tous ces futs de chêne           et tu te reveilles toi
    dit le maitre de chai.             Oh petit bout de bois.

    Et voila septembre,
    le temps des vendanges;
    et là sans attendre
    paniers de vendanges,
    tombent tous les raisins
    pour, prendre le chemin

    ou, sortira le ju.
    pour finir dans un fut
    prisonier, il sera.
    Le mou ne sera plus,
    de ses éffortssera
    un travail en vain.
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