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Par la hauteur de ton sommetbelle montagne admirée,tu as par la neige tombéeun blanc manteau t'es donné.Un défi: Grimper au sommetpar les dangers à affronteroù parfois:Des vies sont restéesmalgré les efforts de cordées.Mais belles montagnes blancheston beau manteau se déchireparfois par des avalanchesqui arrivent sans prévenir.Montagne tu es recherchée.Quand tu perd ton manteau blancqui se transforme en larmesjusqu'au fond de la vallée;où reverdissent les arbresouvrant les yeux du printemps.Pendant que le haut reste blancet les oiseaux dans les arbres.Oh toi belle montagnedominée par quatre saisons;où le soleil et ses rayonste font pleurer toi montagne..
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Doucement s'éface la nuit,doucement se lève le jour,laissant entrevoir la terredans un pyjama de netge.Et le silence de la nuit,domine encore en ce jouret tombe encore la neige,un manteau blanc sur la terre.Et les flocons en silencetournent, tournent au gré du vent;mais rompu fut le silence,surpri, un enfant se levant,les yeux encore un peu fermés,en pyjama emmitouflé;sa curiosité animépar ce manteau: Epoustouflé;regarde tomber la neige.Et le vent comme un manège,souffle, souffle sur les flocons.Et l'enfant devant le balconen cherchant ses mots à tâtons,vient me poser cette question:C'est m&aintenant que c'est noël- non c'est un jour de neige.- Et bien ce sera quand noël?Ah c'est ça, c'est beau la neigemais moi, je préfère noël...Je peu aller dans la neige?- Tu irai bien en pyjamala tenue pas le pyjama.Tu sais père noël se couvreles oreilles, le nez se couvre.comme la tere se couvrede tout son maanteau de neige,père noël lui dans la neige ,marche, marche dans la neige;maintenant sous ton blanc bonnettes deux petits yeux qui brillentet tes mains bien emmitouflées,aux pieds tes bottes brillent.Le nez caché sous ton bonnetpour toi le vent peu bien souffler,regarder les flocons tous blancstombent, tombent en silence;dans la neige tu vois tes pas,tu regardes ce chemin blanctout cela tu ne le savais pas,sur cette neige tu danses.Dans la neige, t'amuse bien,tombe, tombe mais ce n'est rien,dans la neige resterais bien,vent et froid pour toi ce n'est rien;en décembre jour de neige,en décembre bientôt noël,en décembre c'est bien l'hiver,et toi tu dis: J'aime mieux noël.
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L’arbre de la politique
Par ses coups économiques ;
Que d’injustice fait ressortir
Depuis des temps sans en finir.
Tenu debout par ses racines
Depuis des siècles invincibles ;
Et de vouloir toujours grimper
Coupant des branches sans pitié.
Sans se soucier de la misère
Que dans le monde entier génère ;
Y aurait il donc rien à faire
Sans violence et sans guerre ?
Et bien c’est la base qui soufre,
Pensons un arbre sans racine
Ne serait pas en ruine,
Ne serait il pas sans un souffle ?
Et si la base dédaignée
Poussée par la haute société,
Avait des idées de lutins
Coupant les racines un matin.
Avoir la tête comme arme :
Simplement bouder les pièges
Bien aménagés pour tenter
Pour pousser à bien dépenser.
Si chacun devenait lutin,
Une façon d’être malin,
Juste la corde à tirer
Fort, dans le sens oposé.
http://data0.eklablog.com/gerardch/mod_article2359376_1.jpg
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Si dehors tombe la neige,les flocons posés en décoroù toute brancce s'enneigecomme les guirlandes décorentau chaud un sapin de noel, éguilles lumières se mêlent.Aux rêves de tous les enfants,faire un bonhomme de neige,s'amuser sans compter le temps,s'imaginer enfant des neigesqui au matin se réveille, pleins de cadeaux de noel.Ah battent, battent les coeurs,ouvrant les yeux pleins de bonheur.Tellement attendu ce jouroù père noel lui parcourtle monde, le monde entier.Ah enfants des neiges, rêvé....Regarder la neige tomberpour un enfant c'est très joli;et soudain semble venir:Le soleil sjr la neigeoù le décor de la noit,sans bruit tombe en larmes.Tristev est l'arbre qui pleure,dans le silence sans savoir.Tandis que l'enfant au coeurbrisé dit: pas au revoir,regarde juste la neigemais de noel, il rêve.
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Qu'est ce que la politique?Peut être un élastique?Que l'on tire, tire, tire...Ou alrs un ver de terre...Qui lui se tortille.Sortis de polytchnique:Disent, disent sur la terre,tirent, tirent l'elastique.Ne rien faire ne rien dire,c'est l'art de la politique. Des phrases pour ne pas dire...Laissant l'impression de dire...Ainsi va le ver de terre,des idées plein, plein la terreque, personne ne comprennecar se croient hommes de lettres.L'instruction laisse paraitre,l'intelligence diffère.Phrases en ver de terre,tirent, tirent l'élastique.Là est toutes politiques;sans instruction; réflexion,à tout le monde set permie.Politique élastique.
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