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gc1945 dans
poésie le
14 Septembre 2010 à 15:52
Est ce par tes yeuxqui: a déclanché le feuc'est toi c'est moi,qui est vraiment coupablepas de juge pas d'avocaton s'est rencontré par hasardqui a commencé par un regard,qui a allumé la flamme;qui est vraiment coupable,pas de juge pas d'avocatjuste le droit d'aimer, de tomber dans le piègequi fait battre les coeurs.Des pensées en tête,rien qu'un amour fou,c'erst toi c'est moi;qui est vraiment coupable.Pas de juge pas d'avocat,le tribunal c'est d'aimer,pas de question à pauserc'est regarder et penser,tout simplement s'aimersans de rien se soucierde qui est coupable,c'est toi c'est moi...
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gc1945 dans
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6 Septembre 2010 à 09:44
Do nne tu belle musiqueré ponse à tous les coeursmi lle notes magiquesfa veur du bonheur.Sol itude est brisée,la musique l'a emportéesi loin qu'elle n'est plusdo nne tu toi l'amitié.Do nne tu du baume au coeursi belle est toujours aimée,la vie par toi est un bonheursol licitée tu fais danserfa sse toujours rêver,mi lle cadences tu donnesré ponse à tous les coeursdo nnes tu belle musique.
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gc1945 dans
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27 Août 2010 à 08:50
c'est une tache vreterestée là au milieudu courant de la rivière.Ressemblant à un bateaula découpe recouverte;deux arbres au milieuqui ne datent pas d'hiersemblent les mats du bateau,pendant que la végétationressemblerai au pontautant que par sa longueurautant que par sa largeur.Avec un semblant de vieou ne reigne pas l'ennui,chantent, volent les oiseaux,se cachent les poules d'eaudans les touffes de verts roseaux;les poissons au qessus de l'eaude leurs sauts face aux pécheursne semblent pas avoir peur.C'est un coin de paradisqui donnerai des envies.Pas une barque abordela verdure qui déborde.De ce bout de terre résistantà la force du courantau grand bonheur des occupantssans aucun souci du temps.
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gc1945 dans
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14 Août 2010 à 10:04
Quand une femme dans la rue;sera jamais innaperçue,par ses yeux sera remarquée,et un jour fera palpiterjusqu'à en devenir fou,à en tomber à genoux.Une femme qhaque jourrendra fou jour après jourcelui qui aura du regardfusillé cette femmequi brule comme une flammele coeur d'un homme, son âme.Une femme les hommes elle, dans son tourbillon entraine,vole comme l'hirondelle;et de son corps qu'elle promènemaquillée des yeux aux pieds,une robe un peu osée,c'est un piège un à tout;juste pour rendre l'homme fou.
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gc1945 dans
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5 Août 2010 à 16:38
Chaque jour s'éteint une vieou que ce soit sur la terre.Chaque jour s'ouvre une viequ'il en soit ainsi dans la misère, qu'il en soit de la richesse,pour une vie de tendresse;pour un monde de tristesseselon ce que la vie dresse. Et quand survient la détressevers le chemin du silence:;par un geste de tendressepeu faire rompre le silence; par le savoir de la scienceavec une intelligenceet des doigts de fées très actifsde la grande médecine. Aller vers le monde silencieuxen aidant la médecine:Donner une partie de soi,c'est donner des jours heureux, donner pour une greffec'est partir avec un espoir,c'est un peu rester en vieà travers la vie d'autrui. Le donneur dans le silencepour un don qui vient du coeur;éffacera la souffrancepour la vie d'un autre coeur.
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