• poésieMon Petit Papa
    Est toujours le roi.
    Il réchauffe mon petit coeur,
    Lui apporte tout son bonheur.
    Il sait trouver les mots.
    Quand il écrit ses textes si beaux.
    Il m'a transmit sa passion 
    Et il a eu raison,
    Car c'est à travers mes écrits
    Que je lui dit aujourd'hui,
    Qu'il fait ma vie
    Et que je l'aime à l'infini...

    Bénédicte 15 ans, à l'occasion de la fête des pères.
     

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  • poésieEn ce matin de juin
    s'ouvre coàmme chaque jour,
    en ce matin de juin
    le coeur de mes enfants
    palpite de joie et s'ouvre,
    en ce matin de juin
    maman enfants complicess;
    en ce matin de juin
    petits cadeaux, petits dessins,
    en ce matin dejuin
    ou presque une larme glisse,
    en ce matin de juin
    un jour heureux;
    en ce matin de juin
    ou l'or si couteux,
    en ce matin de juin
    en mon coeur est peu;
    en ce matin de juin
    mesenfantsz disent eux:
    en ce matin de juin,
    et c'est plus précieux
    bonne fête papa.

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  • poésieLiberté, égalité, fraternité,
    égalité des chances,
    autrefois écris avec pleins et déliés
    qui donnaient élégance
    de phrases à composer
    ou bien encore donner un sens.

    Sont ils agréables à lire,
    comme voir un papillon
    de ses multiples couleurs,,
    ces mots que veulent ils dire.
    Si le papillon de fleurs en fleurs
    et finit par mourir.

    Les phrases si bien construites
    elles jamais, elles ne meurent;
    ces mots certe parlent de bonheur
    mais, n'estil pas vers la fuite?
    Tant papillon est silence
    tant ces mots semblent puissance.

    Papillons et fleurs, courte vie
    et en beauté ils partagent.
    Pour ces mots, longue est la vie
    mais, bien loin est le partage.
    De ces mots sort juste un ton
    seulement et pleins d'illusions.
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  • poésieDe tout ce qui sort de toi,
    l'homme a su inventer,
    assembler bois et acier
    pour sebattre contre toi;
    à grands coup tu es frappée
    par l'homme à en suer.

    Combien de coup de pioches,
    combien hommes volontaires
    à vrai dire rien en poche
    tombaient sur cette terre.
    Oui sans atteindre le fond
    mines métal ou charbon.

    Te vangerai tu parfois;                   Mais sans soleil un matin
    combien d"hommes sont enfouis      un bras plonge, se léve,
    soudain un coup de grisout,             un nuage noir s'élève,
    un éboulement d'un coup                 c'est le printemps qui s'éteint;
    où l'homme est impuissant               avec bruit s'acharne;
    bien souvent pris par le temps.          adieu, adieu le charme.

    De tout ce qui sort de toi,                 De tous les jours qui passent,
    terre qui es sans pitié,                       tous ces monstres qui crachent,
    toi de l'homme acharné...                  fument, grognent sans cesse
    Serait il chacun pour soi.                   et écrasant laterre
    Terre de toute ta grandeur,                tout en grande vitesse
    tu provoque la peur.                          jetée en benne tere.

    Mais qui est responsable                     Toi jetée je ne sais où,
    et certe bien coupable?                        ramplacée par des cailloux;
    De son imagination,                            combien de tonnes sus toi.
    de toutes ses invantions;                     de coups de dents contre toi.
    terre tu es mal traité                           Tous ces monstres sans pitié
                     
    par toute la société.                             un jour seront épuisés;

    Tu subis la torture.                               mais sur toi auront laissé
    oui, un coin de nature                           un grand espace d'envolé
    a si vite disparu                                    ou bien du béton armé;
    et ne sera jamais plus;                          du printemps abandonné
    les engins de torture                             et puis l'oiseau disparu
    sur la terre du futur.                             ni la fleur fanera plus.

    Un beau matin de printemps
    des oiseaux se posaient là
    et repartaient d'un élan.
    Ou quelques fleurs dans le vent
    que regardaient les passants
    ou coeuillies par les enfants.

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  • poésieA Ma Maman

    Ma Petite Maman,
    Tu es la Reine pour un jour sur le calendrier,
    Mais dans mon coeur, Tu l'es toute l'année...
    Sans Toi, je ne serais pas ce que je suis,
    Tu es le Soleil qui donne des couleurs à ma Vie.
    Alors Ma Petite Maman
    Que j'AiMe Tant,
    Je t'écris tout ceci,
    Pour te dire Merci
    De m'avoir donner la Vie,
    Car grâce à Elle,
    Je peux Te dire aujourd'hui
    Que je t'AiMe à l'Infini...



    Poème pour Maman, à l'occasion de la fête des mères,
    par Bénédicte, 15ans.
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