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Par gc1945 le 2 Mai 2010 à 18:40
Rose si belle d'ou vient tu,
http://data0.eklablog.com/gerardch/mod_article1207260_1.jpg
d'une certaine culture.
Et toi langue que donnes tu,
une certaine culture.
Tout s'apprend tout se cultive;
toi rose tu es naïve.
Tu t'en vas et tu reviens
toi tu es la fleur du coeur,,
belle inoffensive,
parler de toi que en bien,
en phrases cultivées,
tout cela en ton honneur.
Apprendre à cultiver,
apprendre à être cultivé,
quel est vraiment le plus beau?
Les parfums ou les couleurs
ou une suite de mots
sans parfum, sans couleur.
Cultiver c'est un art,
être cultivé c'est savoir;
certe les deux rien de mal.
Même si les roses piquent,
parfois les mots font mal,
sournoisement ils piquent.
Culture ou culture,
rivales en écriture,
de différentes natures
et chacune son armure;
une inoffensive,
l'autre offensive.
Certe pas chaque phrases,
combien elles sont sournoises.
Un mot un point virgule
la phrase s'articule;
que veut elle vraiment dire
facile à découvrir?
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Par gc1945 le 27 Avril 2010 à 18:20
Oh d'aussi loin que tu viens
http://data0.eklablog.com/gerardch/mod_article1193131_1.jpg
toi,laissé sur ton chemin
tout en lettre attachées
points virgules accompagnés
combien, combien de phrases
sur papiers ou ardoises;
où se suivent tant de mots
qui parfois causent des maux,
serait_ce sans le vouloir
ou encore sans le savoir;
papiers lettres et plumes
oh sans pitié aucune.
Oui phrases de l'orgueuil
tu brises bien des coeurs,
une larme à l'oeil,
tu es vraiment sans coeur.
Oh toi le vieil alphabet
oui que sais tu donc donner?
Des phrases en promesses
comme tous ces beaux parleurs
qui, ma foi laissent croire
mais ne sont que des menteurs,
laissent dans la détresse;
et sans aucun espoir.
Qui accuser l'alphabet?
Point les lettres et les mots;
oh les phrases ponctuées
viennent de si haut?
Oh vous les lettres quiu dansez;
instruction donnez, donnez.
Donnez l'intelligence;
pour que tous les coeurs dansent;
comme tous les petits enfants
qui ouvrent leurs yeux tout grands.
Et bien heureux de montrer
leur premier alphabet.
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Par gc1945 le 20 Avril 2010 à 18:41
Des temps les plus lointains,
les hommes les plus malins
s'enrichiussent d'autrrui,
sans pitié sans merci.
Ah du temps des seigneurs
le peuple dans la peur
trimait pour deux fois rien,
lire, écrire savait rien.
Le pauvre lui: va
pour du travail labas;
pendant que le seigneur
fuit toujours le labeur.
Et quand l'école vint
et puis le temps des rois;
pour les pauvres en vain
dans le vent et le froid.
Et la révolution
bien remplie d'illusion,
laguerre la misère
cela change guère.
De tout ce temps passé:
Et bien rien a changé;
souffrance encore,
la guerre encore.
Et combien de soldats
partis sans revenir;
pour tout le résultat:
d'une philosophie.
Puis le temps des fleurs
comme disait la chanson;
maintenant: l'orizon
surgit le temps des peurs.
Le terme clochard
restait il par paresse?
Mais la: la détresse
est elle là par hasard?
On ne dit plus clochard
mais juste par égard;
une vie précaire,
juste vocabulaire.
Il est dit S D F
les patrons enfin bref,
encore des affaires;
des auytres n'ont rien à faire.
Du temps les plus lointains,
les hommes les plus malins
s'enrichissent d'autrui,
sans pitié sans merci.
Les grandes écoles,
les grande études,
apportent un plus;
sans rien donner de plus.
Petite cervelle,
petites écoles;
permit de réfléchir,
sans rien dire a compris.
Mais l'argent n'est il pas:
Une philosophie,
allant vers le profit?
Sans penser ici bas?
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Par gc1945 le 13 Avril 2010 à 18:31
En ces beaux jours de printemps
d'un buisson d'une branche
le chant d'un oiseau s'entend.
Hirondelle ou pélican
avec vitesse, finesse
l'oiseau ouvre ses ailes
et montre ses prouesses,
monte tournoit avec zèle.
Dans les airs il est heureux,
il fait juste ce qu'il veut,
ses ailes il les replit,
prend un moment de répis
en silence sur la branche
et, à nouveau s'élence
avec sa légèreté,
élégance fièreté.
Combien sont il si joyeux
en hiver chercher le chaud
tous les oiseaux migrateurs;
ce n'est pas qu'ils disent adieu
car il reviennent bientôt
mais, en chemin ont ils peur?
n'y a-il pas par en haut
de forts étranges oiseaux?
Ils volent mais sans plume
certe il ont bien des ailes,
se posent bien avec zèle,
c'est ce que dit ma plume.
Ils ont un étrange cris,
traversent bien des pays.
Etrange, ne se posent
et puis ne se reposent
sur un fil, une branche.
Quels mistérieux oiseaux
qui volent, volent très haut,
sur cette question me panche,
ses ailes qui ne se replient
descendu du paradis
d'au dessus des montagnes,
d'au dessus des nuages.
Etranges oiseaux guerriers,
seraient ils comme l'aigle
ou encore le faucon;
encore une fois d'ou vienstu?
Tu semble sans pitié,
tu es oiseau èspiègle;
ce que tu fais sans pardon,
ce que tu fais c'est tuer.
Ah les oiseaux sans plume
vraiment qui les a voulu?
Simplement l'homme qui tue.
Hélas que dit ma plume...
Pourtant la paix est voulue,
pour quand plus d'oiseaux qui tuent?
Des souvenirs encore...
Des menaces encore...
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Par gc1945 le 8 Avril 2010 à 10:17Quand brille le soleil,
la mer calme et bleu
est belle comme le ciel;
en prendre plein les yeux.
s'amusent les vagues
à lécher les falaises,
semblent être à l'aise,
vagues après vagues.
Là mer gentille,
roche tu grapilles.
Parfois en colère
tu es méchante mer,
tout est devenu gris.
il y a vent et pluie
avec tes gros rouleaux,
les rochers prend d'assaut.
Tu es en colère,
mer toi tu dessines
toutes les falaises,
ta force les mine.
Toi, mer de ta houle
tu creuses les rochers,
à force les moule,,
les vagues se cacher.
Sans marteau ni burin,
tu traces ton chemin,
au pied tu attaques,
avec élan claque
la falaise vague.
Mais rochers te narguent,
rageuse écumes
pleine de rancune;
vague tu avances
et puis tu recules,
heurté avec force
car surgit hercule.
A ce moment quel bruit,
et va continuer à scul*ter
un dessin imprévu
sur chacun des rochers.
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