• poésieRose si belle d'ou vient tu,
    d'une certaine culture.
    Et toi langue que donnes tu,
    une certaine culture.
    Tout s'apprend tout se cultive;
    toi rose tu es naïve.

    Tu t'en vas et tu reviens
    toi tu es la fleur du coeur,,
    belle inoffensive,
    parler de toi que en bien,
    en phrases cultivées,
    tout cela en ton honneur.

    Apprendre à cultiver,
    apprendre à être cultivé,
    quel est vraiment le  plus beau?
    Les parfums ou les couleurs
    ou une suite de mots
    sans parfum, sans couleur.

    Cultiver c'est un art,
    être cultivé c'est savoir;
    certe les deux rien de mal.
    Même si les roses piquent,
    parfois les mots font mal,
    sournoisement ils piquent.

    Culture ou culture,
    rivales en écriture,
    de différentes natures
    et chacune son armure;
    une inoffensive,
    l'autre offensive.

    Certe pas chaque phrases,
    combien elles sont sournoises.
    Un mot un point virgule
    la phrase s'articule;
    que veut elle vraiment dire
    facile à découvrir?


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  • poésieOh d'aussi loin que tu viens
    toi,laissé sur ton chemin
    tout en lettre attachées
    points virgules accompagnés
    combien, combien de phrases
    sur papiers ou ardoises;

    où se suivent tant de mots
    qui parfois causent des maux,
    serait_ce sans le vouloir
    ou encore sans le savoir;
    papiers lettres et plumes
    oh sans pitié aucune.

    Oui phrases de l'orgueuil
    tu brises bien des coeurs,
    une larme à l'oeil,
    tu es vraiment sans coeur.
    Oh toi le vieil alphabet
    oui que sais tu donc donner?

    Des phrases en promesses
    comme tous ces beaux parleurs
    qui, ma foi laissent croire
    mais ne sont que des menteurs,
    laissent dans la détresse;
    et sans aucun espoir.

    Qui accuser l'alphabet?
    Point les lettres et les mots;
    oh les phrases ponctuées
    viennent de si haut?
    Oh vous les lettres quiu dansez;
    instruction donnez, donnez.

    Donnez l'intelligence;
    pour que tous les coeurs dansent;
    comme tous les petits enfants
    qui ouvrent leurs yeux tout grands.
    Et bien heureux de montrer
    leur premier alphabet.

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  • poésieDes temps les plus lointains,
    les hommes les plus malins
    s'enrichiussent d'autrrui,
    sans pitié sans merci.

    Ah du temps des seigneurs
    le peuple dans la peur
    trimait pour deux fois rien,
    lire, écrire savait rien.

    Le pauvre lui: va
    pour du travail labas;
    pendant que le seigneur
    fuit toujours le labeur.

    Et quand l'école vint
    et puis le temps des rois;
    pour les pauvres en vain
    dans le vent et le froid.

    Et la révolution
    bien remplie d'illusion,
    laguerre la misère
    cela change guère.

    De tout ce temps passé:
    Et bien rien a changé;
    souffrance encore,
    la guerre encore.

    Et combien de soldats
    partis sans revenir;
    pour tout le résultat:
    d'une philosophie.

    Puis le temps des fleurs
    comme disait la chanson;
    maintenant: l'orizon
    surgit le temps des peurs.

    Le terme clochard
    restait il par paresse?
    Mais la: la détresse
    est elle là par hasard?

    On ne dit plus clochard
    mais juste par égard;
    une vie précaire,
    juste vocabulaire.

    Il est dit  S D F
    les patrons enfin bref,
    encore des affaires;
    des auytres n'ont rien à faire.

    Du temps les plus lointains,
    les hommes les plus malins
    s'enrichissent d'autrui,
    sans pitié sans merci.

    Les grandes écoles,
    les grande études,
    apportent un plus;
    sans rien donner de plus.

    Petite cervelle,
    petites écoles;
    permit de réfléchir,
    sans rien dire a compris.

    Mais l'argent n'est il pas:
    Une philosophie,
    allant vers le profit?
    Sans penser ici bas?

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  • poésieEn ces beaux jours de printemps
    d'un buisson d'une branche
    le chant d'un oiseau s'entend.
    Hirondelle ou pélican
    avec vitesse, finesse
    l'oiseau ouvre ses ailes
    et montre ses prouesses,
    monte tournoit avec zèle.

    Dans les airs il est heureux,
    il fait juste ce qu'il veut,
    ses ailes il les replit,
    prend un moment de répis
    en silence sur la branche
    et, à nouveau s'élence
    avec sa légèreté,
    élégance fièreté.

    Combien sont il si joyeux
    en hiver chercher le chaud
    tous les oiseaux migrateurs;
    ce n'est pas qu'ils disent adieu
    car il reviennent bientôt
    mais, en chemin ont ils peur?
    n'y a-il pas par en haut
    de forts étranges oiseaux?

    Ils volent mais sans plume
    certe il ont bien des ailes,
    se posent bien avec zèle,
    c'est ce que dit ma plume.
    Ils ont un étrange cris,
    traversent bien des pays.
    Etrange, ne se posent
    et puis ne se reposent

    sur un fil, une branche.
    Quels mistérieux oiseaux
    qui volent, volent très haut,
    sur cette question me panche,
    ses ailes qui ne se replient
    descendu du paradis
    d'au dessus des montagnes,
    d'au dessus des nuages.

    Etranges oiseaux guerriers,
    seraient ils comme l'aigle
    ou encore le faucon;
    encore une fois d'ou vienstu?
    Tu semble sans pitié,
    tu es oiseau èspiègle;
    ce que tu fais sans pardon,
    ce que tu fais c'est tuer.

    Ah les oiseaux sans plume
    vraiment qui les a voulu?
    Simplement l'homme qui tue.
    Hélas que dit ma plume...
    Pourtant la paix est voulue,
    pour quand plus d'oiseaux qui tuent?
    Des souvenirs encore...
    Des menaces encore...





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  • poésieQuand brille le soleil,
    la mer calme et bleu
    est belle comme le ciel;
    en prendre plein les yeux.

    s'amusent les vagues
    à lécher les falaises,
    semblent être à l'aise,
    vagues après vagues.

    Là mer gentille,
    roche tu grapilles.
    Parfois en colère
    tu es méchante mer,

    tout est devenu gris.
    il y a vent et pluie
    avec tes gros rouleaux,
    les rochers prend d'assaut.

    Tu es en colère,
    mer toi tu dessines
    toutes les falaises,
    ta force les mine.

    Toi, mer de ta houle
    tu creuses les rochers,
    à force les moule,,
    les vagues se cacher.

    Sans marteau ni burin,
    tu traces ton chemin,
    au pied tu attaques,
    avec élan claque

    la falaise vague.
    Mais rochers te narguent,
    rageuse écumes
    pleine de rancune;

    vague tu avances
    et puis tu recules,
    heurté avec force
    car surgit hercule.

    A ce moment quel bruit,
    et va continuer à scul*ter
    un dessin imprévu
    sur chacun des rochers.



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