• Histoire de terre

    poésieDe tout ce qui sort de toi,
    l'homme a su inventer,
    assembler bois et acier
    pour sebattre contre toi;
    à grands coup tu es frappée
    par l'homme à en suer.

    Combien de coup de pioches,
    combien hommes volontaires
    à vrai dire rien en poche
    tombaient sur cette terre.
    Oui sans atteindre le fond
    mines métal ou charbon.

    Te vangerai tu parfois;                   Mais sans soleil un matin
    combien d"hommes sont enfouis      un bras plonge, se léve,
    soudain un coup de grisout,             un nuage noir s'élève,
    un éboulement d'un coup                 c'est le printemps qui s'éteint;
    où l'homme est impuissant               avec bruit s'acharne;
    bien souvent pris par le temps.          adieu, adieu le charme.

    De tout ce qui sort de toi,                 De tous les jours qui passent,
    terre qui es sans pitié,                       tous ces monstres qui crachent,
    toi de l'homme acharné...                  fument, grognent sans cesse
    Serait il chacun pour soi.                   et écrasant laterre
    Terre de toute ta grandeur,                tout en grande vitesse
    tu provoque la peur.                          jetée en benne tere.

    Mais qui est responsable                     Toi jetée je ne sais où,
    et certe bien coupable?                        ramplacée par des cailloux;
    De son imagination,                            combien de tonnes sus toi.
    de toutes ses invantions;                     de coups de dents contre toi.
    terre tu es mal traité                           Tous ces monstres sans pitié
                     
    par toute la société.                             un jour seront épuisés;

    Tu subis la torture.                               mais sur toi auront laissé
    oui, un coin de nature                           un grand espace d'envolé
    a si vite disparu                                    ou bien du béton armé;
    et ne sera jamais plus;                          du printemps abandonné
    les engins de torture                             et puis l'oiseau disparu
    sur la terre du futur.                             ni la fleur fanera plus.

    Un beau matin de printemps
    des oiseaux se posaient là
    et repartaient d'un élan.
    Ou quelques fleurs dans le vent
    que regardaient les passants
    ou coeuillies par les enfants.

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