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La lutte
Rechercher un bonheur dans ce monde maudit
Dirigé par l'argent au projet inédit;
Ou la misère vient d'une manière sournoise
Et que tout un système en douceur apprivoise.
Mais un petit travail épuisant, singulier
Peut toujours emmener un jour vers l'escalier
D'un petit logement doté d'une mansarde
A tout prix recherché; ne pas être nomade.
Chaque jour pour défier au mécontentement
Avancer endiguer les heures qui s'écoulent;
Un obstacle présent: décidé se hasarde;
Aller vers le combat qui reste le code.
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La beauté
Toi belle nature par toute ta grandeur
Ton immense force nous laisse la fraîcheur
Tu trace le décor aux couleurs différentes;
Si belle nature nous donne des merveilles.
Nos yeux sont des aimants irrésistiblement
Par toute la beauté d'un physique élégant;
Toujours l'homme succombe à perdre la raison
Mais tout au fond du cœur se cache la tendresse.
Il est une beauté qui se montre sans bruit
Elle est la lumière c'est un joli bouquet;
En son âme s'ouvre devant une montagne
Se montre par le cœur ou coule la fontaine.
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Souvenir
souvenir d'un té cette belle fontaine
Une pensée animée toi si jolie brune,
Tes beaux yeux ta beauté tu attires mon cœur
Une flamme de joie le chemin du bonheur.
Devant toi je serai sans défense ni arme
Ho que toi Isabelle tu es si belle femme
Toi en croquant la vie dans toute sa grandeur
Toute ta liberté laissant bien du malheur
Que la vie est cruelle quand mémoire s'éveille
Ha que de toi encore en sursaut me réveille;
Me détacher de toi jamais ne pourrai bb
Au fond de mon âme u toujours te voudrai.
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Il avait pris en nom
Celui de belle presque île,
Il savait dans ses chansons
Par son savoir et son style
Sans chercher toute la gloire
Un grand public attiré
Ses paroles sa mémoire
Montrant la réalité.
Il avait bien ses idées,
Rien ne le faisait dévier
Même parfois censuré
L’empêcher de s'exprimer ?
Tout en aimant Aragon
Il était un grand chanteur,
Savait montrer sa passion
Chantait l'amour le bonheur.
De lui on se souviendra
Il exprimait Aragon
Et restera Jean Ferra
A travers générations.
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Écriture de velours
un joli bouquet de roses;
cacher tout ce qui est lourd,
Laissant voir l'apothéose
Dans toute cette forêt
De mots laissant la déprime
Où surgit tout un regret.
Descendant la colline,
Venus de tout un discoure
Rempli de tant de promesses
Qui ne verrons pas le jour.
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