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L'amour est une fontaine
ou, tout le monde un jour bois.
L'amour est une fontaine
ou, l'on se noye sans le savoir.
L'amour est une fontaine
ou, l'on peu boire à tout age.
Les femmes se font surprendre,
et les hommes de se défendre.
Parfois brule la fontaine
parfois déborde la fontaine;
dans le monde toi fontaine
donne la joie toi fontaine.
Même fontaine de larmes,
de tout age et de tout temps;
part et revient comme le vent
sans savoir pour une femme,
une fontaine pour l'homme,
pour une vie pour un printemps.
Précieuse est tu fontaine,
le monde aux yeux fontaine,
même sans un sou fontaine,
tu chasse l'ennui fontaine,
sans diamant es tu fontaine,
dans le monde toi fontaine.
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Bien des écrits parlent de toi,
disant que tu es dans les cieux,
en passant sa vie que pour toi,
alors où es tu le grand Dieu?
Depuis la hache de pièrre,
bien des gens disent des prières;
avec grandes éspérances,
et toi: Toujours le silence.
Oh du temps du moyen age,
où les seigneurs et l'ésclavage,
recevaient ton représentant
afin de paraitre sages;
Ne voyait tu l'injustice?
est-ce par indifférence?
Silence aux éspérances?
si on parle de justice?
Et les rois si fervants de toi,
le peuple dans la misère;
avec tant de monastères,
tant de sacrifices pour toi.
Et du temps de Richeulieu,
à la république maintenant;
vraiment est tu dans les cieux?
qu'est -ce que tu attend maintenant?
oh, combuien de gueres pour un Dieu?
Et combien de morts pour un Dieu?
Maintenant des gens encore,
se tuent pour un désaccord.
Tous pour chacun son Dieu,
bien de belles cathédrales;
remplies de chants, de chorales,
pour toi qui est le grand Dieu.
Où que ce sois dans le monde,
on prie, on chante pour un Dieu
et que voit on dans le monde
pour beaucoup: Peut ^rtre un Dieu.
Oui mais un Dieu de justice?
Ah sur cette terre ya richesses
mais aussi plus de misères.
Que fait tu Dieu de justice?
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Sur cette terre toute ronde,
ou parfois l'orage groonde
entre le ciel tout enflammé
et l'océan de tout son bleu;
ou l'homme au coeur enflammé,
s'imagine des joiurs heureux.
Oui mais ou est son vrai désir,
être' poussé par l'aquilon
ou se contenter du zéphir.
Fier de sa vie, réussir,
Ou bien fuir l'aquilon,
et qui a raison?
Grimper, grimper, grimper, grimpe'r...
A la cime d'un grand arbre,
à la cime" d'un peuplier
poussant année après années;
pour voir du haut de cet arbre,
pour bien rire du zéphir.
Pourtant qui est le plus vivant?
Aprécier autour de soi:
De petits arbres poussant
en laissant bien venir la joie
poussé par le bon zéphir
ouand on regarde un sourir.
Etre poussé par l'aquilon;
même en étant apolon,
chercher la gloire,sa passion,
aucune autre conviction.
Indifférant aux tourbillons
qui se passe dans sa maison.
Mais: La cime du poeuplier
peut bien tout d'un coup se plier,
et se casser par l'aquilon
et briser toute la passion.
Et là: qui peut vraimanbt rire
l'aquilon ou le zéphir.
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l'enfant pleins de rêves bleus
regarde le haut ciel bleu,
est il toujours bien heureux?
l'enfant' ses rêves roses;
veut une vie en rose.
Vraiment est elle heureuse,
l'enfant au rêves bleus
a le coeur un peu pincé,
éface ses rêves bleus
ainsi il l'a décidé.
Comme les rêves roses
le coeur déséspéré,
la petite fille dit:
il me faut bien oublier.
L'enfant des rêves bleus dit:
Oublier, je ne peu pas.
L'enfant des rêves roses dit:
Oublier, je ne sais pas.
Injuste est le monde,
des enfants font la ronde;
d'autres un travail feront
et rêves bleus, roses: non.
Et pourtant dans le monde,
des phrases disent toujours:
Tous les enfants du monde...
La main dans la main toujours.
Enfants *leins de rêves bleus,
feraient bien des jours heureux,
enfants pleins de rêves roses,
où l'argent ne s'impose
ne serait plus un monde
ou courre l'égoïsme;
mais serait bien un monde,
ou domine la justice.
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Derrière la fenêtre en silence
les branches se balancent
derrière la fenêtre, panchant
l'arbre face au vent, géant
et certe solide obéit en silence;
en un seul mouvement
ou en quatre temps
les branches se balancent.
Comme dans un orchestre,
ou tous les archés s'abaissent,
au souffle du vent
se plient les branches .
Comme les archés obéissent au maître
les branches obéissent au vent
qui par son souffle est maître.
Et le soleil si haut étant,
lui aussi obéit au vent
ou parfois ses rayons disparessent
et soudaineme'nt réaparessent,
selon le mouvement des branches
et des feuilles vertes dans le silence.
Et aussi tout en haut avançant;
les nuages poussés par le vent
cachent le soleil couchant
ou la pluie tombe en silence.
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