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Ah ma mémoire me fait bien défaut,
des souvenirs d'enfants sont bien restés
t'appelle tu André ou bien René?
T'appelle tu René ou bien André?
Mémoire tu m'impose ce défaut;
il me reste encore une image:
ce vieux moulin dans le paysage
ou nous n'étions pas toujours très sage
t'appelais tu Julie ou bien Fanie?
T'appelais tu Fanie ou bien Julie?
Je ne sais plus ce n'est plus défini
nous faisions une bande de farfelus
près de ce moulin qui ne tourne plus.
C'était bien le temps de l’insouciance;
pourtant petit on veux devenir grand,
quel était ton prénom je ne sais plus
t'appelais tu André ou bien René?
T'appelais tu René ou bien André?
Ah douce France de mon enfance
je voudrai bien revenir à ce temps
me voilà clopin clopant maintenant
où l'avenir est derrière devant,
t'appelle tu Fanie ou bien Julie?
T Appelle tu Julie ou bien Fanie?
Je ne sais plus tout ça est bien fini
ah ma mémoire me fait bien défaut.
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Sur le chemin des vieux moulins
où jadis le grain fut moulu,
oui le blé ; où en cotillons
sans regarder les papillons
les paysannes à la vie dure
étaient sous le soleil brûlant.
Sur le chemin des vieux moulins
où le tirant d'eau indolent
entraînant les roulements
ou la farine s'écoulant
prenait le chemin du pain
qui passait sur la balance.
Sur le chemin des vieux moulins
qui ne sont pas des tanières
manquaient surtout de lumière.
Tout en marchant on pense
mais les roues sont en silence.
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Depuis tant de siècles ce monde:
coule le sang des innocents
ou la paix reste dominée,
semblerai se jouer sans honte,
Quand viendra t'elle en lumière
éclairer toutes ces idées
pour bien différentes pensées.
Devant l'homme qui s'expose
au point de vue qui s'oppose
pour toujours vouloir avancer
au but d'une gloire cherchée,
depuis tant de siècles achevés/
Le bon sens encore éloigné.
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un rêve apparut une nuit
devant moi s'ouvrit une page
ou était dessiné un visage.
Accompagné de tant de fleurs
dans tout un mélange de couleurs
formant une jolie ombrelle
sur cette page d'aquarelle.
Ou s'est tracé un peuplier
aussi vite que s'écoule un sablier
mais brusquement réveillé
un rêve, une aquarelle achevée.
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