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quelque part sur la terre
les peuples subissent les cartons
par l'emprise du pognon.
Sur les villes les éclairs
de frappes de guerre
dirigées par le pognon
et ses grands manitous ;
à l’abri toujours resteront,
L' orage donne le ton
tout cela pour des idées
que l'on veut imposer.
En se servant de la religion
avec la force du taillons
et une culture imposée,
un vocabulaire déformé
pour des fêtes des mots remplacés
pendant que la vérité
volontairement cachée
par les mpédiats manipulés
Sur lat terrze l'orage gronde
les dieux restent dans l'ombre ?
Le dieu de ce monde
reste et restera le pognon.
Les peuples toujours seront
dans le jeu de simples pions
bousculés par des idées
par le pognon boustées.
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Par le soleil paresseux
le feuillage jaunissant
et la sève descendant
parfois le ciel capricieux.
L'automne se présente
les arbres se des habillent
par les feuilles qui voltigent
emportées par le vent.
Faisant au sol un tapis
marron de feuilles mortes
qui sous les pieds craquant
et un parfum laissant.
La nature parait morte
par ces arbres démunis ;
où les fleurs d'automne
en cette saison épanouies
Tel que les chrysanthèmes
où précis est le thème
que ces fleurs décorent,
auix gelées trouvent la mort.
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