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Par
gc1945 dans
poésie le
14 Octobre 2014 à 09:36
Chaque jour prendre le cheminpour un travail par ses mainsaccompli dans un but certaintoute une vie un quotidien. Il fut un temps comme un ruisseauaussi tranquille ou coule l'eauqui au fil du temps devient méchantvenant à grands pas au néant. Et laissant place au licenciementpar faute de l'homme, de l'argent?Ce que l'on dit, ce que l'on pensene change rien à la cadence. Entrainé par le progrèspar tant de postes supprimésmême en présence de nombreuses annéestoute une main d'œuvre licenciée. Mais au plus loin des tempsle riche et le pauvre sur tous les continentsle maître a été et sera toujours l'argent dont tout le monde en dépend.
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