• don du sangCe liquide qui dans le corps
    va et vient fait son chemin,
    est précieux comme de l'or
    sans lui le corps est défin.
     
    Par les soucis de la vie
    peu être lancé un défi
    mêtrisé par la science
    de sa grande persévérence.
     
    Et le courage de chacun
    qui apporte tous les soins
    pour sauver bien des vies,
    reste toujours un défi.
     
    Pour ce trésor demandé
    vouloir, pouvoir le donner:
    Une vie peu être sauvé;
    juste son sang à donner.
     
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  • la vieQuand on est enfant
    on veut devenir grand,
    quand on est grand:
    Ne plus être un enfant
    devient un regret.
    De la vie sans soucis
    au milieu des rêves
    aux cent milles questions,
    vivre dans son monde,
    faire sans le savoir
    parfois des bétises
    à n'en plus finir
    tant d'éclats de rires
    deviennent souvenirs;
    le tic tac quotidien
    la trotteuse suit son chemin
    comme emportée par le vent,
    s'éloigne l'enfance
    mais reste en mémoire.
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  • la crémaillèreDans la cheminée fut elle
    autrefois la crémaillère,
    où accroché chaque jour,
    au dessus du feu toujours
    une marmite qui laissait
    échapper dans la pièce
    une délicieuse odeur et:
    un apétis éguisait.
    La crémaillère est disparu
    mais le terme est retenu
    pour un moment de fête, 
    une maison juste faite".
    Pendre la crémaière
    bien d'une autre manière,
    préparer pour des invités
    sans le feu de cheminée;
    sans la marmite accrochée
    mais c'est une fierté
    de pendre la crémaillère,
    une joie d'y être arrivé.
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  • Il faut de tout pour faire un monde
    la justice c'est une balance
    qui dans tous les pays innonde
    dont un côté est l'oppulance
    et par un autre la misère.
    Misère regardée de haut
    par une pointe d'horgueil
    tandis que lka souffrance cachéeparoles cruelles
    à chaque jour est dure à suporter;
    il faut de tout poiur faire un monde
    sur la terre entière la balance
    panche toujours du même côté
    à cause des intérèts recherchés
    dans une grande indifference.
    Dazns le monde la langfue de bois
    dans le sens de laisser un espoir, 
    promet toujours sans ne rien donner,
    fait suporter la pauvreté
    provoquée par un égoÏSME
    du monde et de ces cultures,
    par des paroles et des pensées.
     
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