• poésieLe Français est une langue
    qui est bien dite vivante;
    peut ^étre incommodante
    pour qui débute la langue.

    A cette vieille grand mère
    ohy pardon cette grammaire,
    compliqué cet orthographe
    et puis surtout pas de gaffes.

    Entre deux mots: la virgule
    au début la majuscule
    et quel pointexlamation
    ou bien poiunt d'interrogation?

    Penser aussi au point final.
    En cas d'oubli ça fait mal,
    du trait dd'union aux guillemets
    surtout ne pas les oublier.

    Bien penser aux charentaises,
    oh mais non aux parenthèses;
    dure, dure est la conjugaison
    avec toute cette ponctuation.

    Le Français c'est bien compliqué,
    les mots il fa&ut décortiquer;
    écrire à la queue leu leu
    des mots, des mots comme l'on peu.

    C'est ça la langue française,
    chacun pense à son aise,
    oh c'est bien ce viel alphabet,
    ces lettres qui font que danser;

    par des règles qui s'imposent,
    et des mots qui se composent
    de voyelles et de consonnes,
    vite que la cloche sonne.

    Ah les fautes d'orthographe,
    il pensent à l'épidémie
    oh mais quelle grosse gaffe,
    mieux vaut dire l'académie;

    qui, parpois modifie des mots
    ou, en ajoute des nouveaux;
    oh l'école buissonnière
    dit demoiselle écolière.
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  • poésieDepuis le moi de septembre
    oh combien de pages blanches,
    que de déssins à comprendre
    des peintures sur pages blanches

    c'est chaque enfant qui s'exprime.
    Et ne sachant pas écrire,
    fièr de son dessin en prime
    s'empresse de le deé&crire.

    C'est le début de l'école
    où il n'y a pas de cole,
    c'est tout le temps des comptines,
    c'est le temps de la cantine.

    C"est amusant pour les enfants,
    du travail pour les enseignants;
    c'est parfois des cris et des pleurs
    oh, c'est la vie et ses couleurs.

    Découvrent les quatre saisons,
    écoutent de petites chansons
    et parfois chantent en coeur;
    pour eux c'est un vrai bonheur.

    Dix mois s'écoulent ainsi
    et, bientôt une autre classe,
    d'autres pages seront remplies
    dans cette nouvelle classe;

    seront tracées les premières
    lettres de, ce viel alphabet,
    chacun fait à sa manière
    les tous premiers chiffres tracés.

    A l'école aux petits yeux;
    découvrir,c'est toujours curieux,
    parfois distrait ailleurs s'en vont
    et maîtresse lève le ton.

    Ainsi s'écoule chaque jour,
    d'un jour de pluie en automne;
    et si la neige tombe un jour,
    ce n'est pas un jour monotone.

    L'hiver s'installe et puis s'en va,
    les petit yeux sont toujours la;
    heureux de voir la neige
    comme, faire un tour de manège.

    Et voila la fin du printemps,
    voila, voila les vacances.
    Encore une fois septembre
    une autre classe maintenant;

    ou sont passés tous lesz jouets?
    maîtresse tu nous fais dessiner,
    maîtresse tu nous fais travailler;
    nous on préf-re s'amuser.

    Maîtresse les jouets sont partis;
    nous aussi nousw serons partis;
    et, au revoir maîtresse,
    au revoir maternelle.






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  • poésieDans le monde un enfant pleur
    et son coeur en silence pleur.
    Oui de son âme innocente,
    sans le chercher vie la pauvreté;
    sans avoir le droit de s'amuser
    et puis la fin qui le tourmente.

    Dans le monde un enfant pleur,
    et son coeur en silence pleur.
    Comme la fleur ne s'épanouit;
    mais pour lui le bonheur s'enfuit.
    Pourtant un enfant le voir courir,
    entendre un éclat de rire,

    rêver, sauter, danser,gambader,
    avoir la tète plenne d'idées;
    s'imaginer, les réaliser,
    regarder dans le ciel s'envoler
    les oiseaux ou lez fleurs de mai
    être un enfant épanoui mais;

    dans le monde un enfant pleur,
    et son coeur en silence pleur.
    A qui la faute sinon de l'homme
    qui de plus en plus veut de l'rgent
    en faisant travailler des enfants.
    Il y a bien le droit de l'homme!

    Et le droit de l'enfant, il est où?
    Peut être sous un buisson de houx?
    Bien sur l'unesco le sait, dit que...
    Bbien sur l'oms le sait,dit que...
    Il faut protéger ses enfants
    qui sont victimes de l'argent.

    Dans le monde un enfant pleur,
    et son coeur en silence pleur.
    Ah ces deux phrases seraient si belles,
    si elles devenaient des fleurs.
    Un enfant dans le monde pleur
                          de joie,
    et son coeur en silence pleur
                          de bonheur.

    Etre au milieu des fleurs
    accompagnées de leur parfum,
    le vent qui donne sa fraicheur;
    est-ce le désir de chacun?
    Le soir regarder la lune
    et observer les étoiles,

    Où la nuit devient reine,
    entendre chanter les cricris...
    Cela agite la plume
    sous une bonne étoile,
    sans vouloir copier Verlene
    ces quelques phrases que j'écris;

    et je ne suis pas le premier
    à parler de la misère.
    Que ce soit Arthur Rimbeau
    ou encore Victor Hugo.
    Tout semble briller aujourd'hui
    mais encore la misère

    due à l'homme ou à l'argent?
    au profit ou à la paresse?
    A vrai dire aujourd'hui;
    c'est bien profit et misère,
    donner une apparence,
    c'est toute la différence.

    Utile est la misère,
    à réfléchir qui le pense?
    Oh ce n'est pas un mistère
    mais quelle pensée cruelle.
    Dans le monde un enfant pleur,
    et son coeur en silence pleur;

    Pour une vie si cruelmle:
    aisance               soufrance
                  balance.


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  • poésieAimer,c'est comme le printemps,
    aimer: La sève qui de la& racine
    monte au bouton de la fleur.
    Aimer c'est ce qui fait battre le coeur
    aimer: pe'nsées et rêves s'enracinent
    comme toutes fleurs du printemps
    ou, en une nuit ou un jour
    le bouton en silence s'éclore.
    Aimer c'est l'avenir qui s'éclore
    ou toi belle fleur toujours,
    aimé de ta beauté,
    aimé sde ton parfum.
    Aimer c'est ne rien penser, c'est voir rien
    aimer c'est tout simplement être bien.
    Aimer: pris au piège de ta beauté
    et, se laisser emporter par le vent,
    à travers les rayons du soleil brulant.
    Aimer c'est au dessus dxe la gloire;
    aimer rechercher toute la gloire:
    C'ezst une fleur qui un jour se fane.
    Aimer simplement sa jolie femme;
    c'est une fleur qui jamais se fane;
    aimer: ce sont deux coeurs qui s'enflament.


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  • poésieQu'est ce que la vie?
    N'est pas un livre,
    que les pages blanches
    ou chacun se panche,
    chaque jour de sa vie;
    au destin le livre?

    Bien des mots se suivent.
    Comme jours se suivent;
    et si blessent des mots,
    la vie donne des maux.
    Un jour une page,
    remplie chaque page

    peut ê'tre joyeuse
    ou bien ennuyeuse.
    Ainsi est le livre,
    dans la vie se livre
    chacun sans le savoir;
    à un jeu de hasard.

    Plus les pages tournent,
    c'est la vie qui tourne;
    tant de phrases dites,
    de pages écrites.
    Ainsi est le livre
    de toute une vie.

    La vie c'est un livre
    que l'on peu relire.
    Mais on ne peu dire:
    Corrige ce livre;
    tel il sera écrit,
    tel il restera écrit.


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